Trente ans plus tôt cet autodidacte licencié en droit privé de la faculté de Bordeaux délaisse le monde du travail comme celui du sport et ses titres de double champion de France de skimboard et cinquième aux championnats de monde de skimboard aux USA pour se plonger dans l’inconnu. Il se jette dans la peinture et en fait son métier. Son art spontané et maîtrisé lui ouvre toutes les portes en France comme à l’étranger. Les félicitations pleuvent de Madame Pompidou à Jean Galard du Grand Louvre à MarieLaure Bernadac où Sophie Barthélemy grandes personnalités du monde de l’art. Son entrée dans les musées depuis un quart de siècle se répète avec une dimension internationale.
Une écriture singulière et tout à fait personnelle dont les subtilités s’expriment dans leur finesse et leurs contrastes. Un art qui tend de plus en plus vers la troisième dimension.
Une gestuelle réfléchie, presque sculpturale
Dans la douceur feutrée d’un atelier bordelais, Éric Besson trace, couche après couche, l’histoire d’un parcours hors du commun. Juriste de formation, licencié en droit privé à l’université de Bordeaux, il abandonne en 1996 toute carrière traditionnelle – ainsi que son titre envié de double champion de France de skimboard et une cinquième place aux championnats du monde aux États-Unis – pour embrasser l’inconnu de la peinture autodidacte.
Son arrivée dans le monde artistique est fulgurante. Quelques mois suffisent à sa notoriété : galeries, musées, collectionneurs internationaux s’ouvrent à lui. Dès les années 2000, il intègre des musées, suscitant l’attention de figures éminentes du monde culturel – de Claude Pompidou à Jean Galard du Grand Louvre, sans oublier Marie-Laure Bernadac ou Sophie Barthélemy . Son travail, traversé par des contrastes puissants, allie instantanéité et maîtrise, oscillant entre épure monochrome et éclats de couleur corporellement organiques
Sur Partageos, Éric Besson dévoile sa démarche : de la discussion initiale découle un dialogue intérieur entre conscience et subconscient – il baptise sa toile comme on compose une symphonie info.partageos.com. Il travaille la toile au millimètre, ponctuant ses créations d’équilibre dans le déséquilibre, ajustant son geste jusqu’à ce que résonne pleinement l’essence de son émotion. Cette exigence, patiemment cultivée sur plus de vingt-cinq ans, confère à son œuvre cette tension intérieure si particulière info.partageos.com.
Techniques et résonances chromatiques
Accompagné parfois de bombe aérosol et cerne-relief, il façonne des monochromes d’une intense profondeur, où une seule teinte suffit à éveiller l’imaginaire info.partageos.com. Ses toiles – parfois vers la troisième dimension – oscillent entre abstraction et figuration, évoquant aussi bien Basquiat que Rothko, tout en affirmant une patte unique, sensuelle, presque architecturale dans sa composition.
France et rayonnement international
Né à Paris en 1962 mais profondément attaché à Bordeaux, Éric Besson est aujourd’hui considéré comme l’un des artistes majeurs de sa génération. Ses expositions s’égrènent le long de l’« Avenue Montaigne artistique », accueillies par le maire Alain Juppé (2012) et parcourues par plus d’un million de visiteurs. Avec des galeries en France, au Royaume-Uni et ailleurs, et des médias comme Artsper ou Singulart, il s’impose comme artiste global.
Un passeur de culture
Sur Partageos, à travers des réflexions comme « La Peinture est émotion » ou ses hommages à des maîtres comme Francis Garcia, cet artiste partage sa pensée créative, invitant le public à se nourrir de ses cheminements. Il fait de la transmission, de l’authenticité et du lien entre passé et présent ses moteurs culturels info.partageos.com.
En filigrane
Éric Besson prolonge la tradition française du dialogue entre rigueur et liberté, entre le castrum intellectuel et l’élan spontané. De juriste il devient bâtisseur de formes, d’émotions teintées, d’équilibres fragiles. Son œuvre, puissante et intimiste, trace des empreintes durables dans le paysage artistique hexagonal, comme une invitation à laisser l’émotion se faire art – et l’art, part de nous-mêmes.
Éric Besson continue à exposer, entre Bordeaux et d’autres capitales culturelles. Son salon permanent face à la mairie de Bordeaux, ses œuvres visibles en galeries prestigieuses et sur les plateformes numériques (Artsper, Singulart, Partageos, Instagram…) font de lui un créateur engagé, dont la démarche passionnée invite chacun à découvrir la beauté du geste et du partage culturel.
Son art, comme un roman où se croisent l’histoire, l’émotion et la couleur, laisse dans la culture française une trace indélébile, portée par l’enthousiasme d’un autodidacte devenu ambassadeur des monochromes et de l’abstraction sculpturale.
82 Frère, Bordeaux, 33000 !
